ETUDIANTS PRÉALPES D’AZUR

VLADIMIR :

Imaginer n’est pas seulement inventer un objet architectural, mais c’est aussi s’inventer soi-même, inventer une nouvelle manière de voir, de communiquer, de se rencontrer et puis de créer. Cette création n’a pas donné seulement lieu à un «objet scolaire», mais à une réelle réflexion complexe et collective. > lire la suite

Cet atelier m’a permis de questionner ma manière à voir le monde mais aussi à le concevoir ainsi que les outils que j’utilisais et inventais pour définir des enjeux et les scénarios ou s’intègrent les architectures actives


Vladimir travaille pour une agence en Chine sur des projets qui sont des interventions entre infrastructure et architecture dans des parcs naturels en considérant le territoire comme un biosystème.


JOANNA

Etudier dans cet atelier est l’occasion de découvrir une nouvelle manière de projetter. L’immersion fait prendre conscience de l’importance de l’architecte dans la revalorisation d’un territoire, de ses rôles afin de pouvoir répondre aux enjeux actuels pour un avenir soutenable.
En effet la méthodologie (immersion, diagnostics, enjeux, scénario stratégique, architecture active) est une forme d’enseignement alternative pour concevoir un projet plus juste.

Joanna a fait une formation d’une année sur la mise en oeuvre des matériaux bio-sourcés bois et terre.

MARGOT

La semaine d’immersion a été un véritable enrichissement, une découverte du territoire du projet nouvelle. En effet, pour la première fois, je vivais sur le territoire, le parcourrais et surtout rencontrais ses habitants, ses élus, ses acteurs… ce qui m’a e de tenter de le comprendre et par la suite, de donner du sens à mon travail le reliant au bagage théorique acquis au début du semestre.
Ce que j’apprécie particulièrement dans cette expérience, c’est le sens donné à nos propositions. Les échanges que nous avons eu avec les élus et les membres du parc lors de la séance de présentation à Gréolières ont été encourageants et motivants: nous avions interprété le caractère du parc et surtout ses enjeux, mais aussi nos propositions trouvaient du sens chez nos partenaires. J’ai pu être utile.
La ligne directrice de ma réflexion a porté sur le renforcement des relations entre les communes qui profiteront toutes de mes installations temporaires mais aussi liens entre toutes les catégories des personnes fréquentant ou habitant ce territoire.

Margot après avoir passé un diplôme de marqueterie a intégré un collectif qui travaille sur des installations.

KERIAN

Je considère cette année comme la plus riche de mon cursus à l’ENSAM, autant culturellement, pédagogiquement que humainement. Ce fut une année extraordinaire, qui m’a permit de grandir personnellement comme jamais auparavant, et qui m’a également aidé à développer une pensée critique, un corpus culturel et à construire une nouvelle façon de définir l’architecture et le métier d’architecte de demain. Cet atelier interroge aussi les rôles de l’assistance à la maîtrise d’ouvrage, et développe notre capacité à questionner et enrichir les visions politiques des territoires.

Kerian avec un ancien étudiant est très engagé dans la sauvegarde et la reconversion de friches urbaines avec un processus de participation des habitants.






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